Si Noël rime avec plaisir partagé en famille ou entre amis, c’est aussi l’une des pires périodes sur le plan diététique. De l’apéritif au dessert en passant par les fameux entremets, le repas de Noël est un festin de calories accumulées dont il faudra se débarrasser par la suite. Premier conseil, ne vous resservez pas systématiquement et préférez la dégustation en petites quantités. Second conseil, apprenez à repérez vos pires ennemis sur le plan calorique et déjouez tous les pièges du grand repas de Noël.
A commencer par l’apéritif
Les apéritifs croustillants, fourrés ou dorés au four sont le premier piège dans lequel il ne faut pas tomber. A titre d’exemple, sachez que 100 grammes de cacahouètes équivalent à plus de 560 kcal, soit un quart des besoins journaliers en apport calorique. Les légumes apéro sont à privilégier, même trempés dans la sauce.
Gras comme son nom l’indique
De plus en plus populaire dans nos assiettes, le foie gras est décliné sous toutes ses coutures. Et même si sa graisse est réputée comme étant du bon cholestérol et contenant des acides gras mono-insaturés protégeant nos artères, il n’en reste pas moins que le foie gras est un aliment qui atteint des records sur le plan calorique. Il est donc conseillé de l’éviter autant que possible.
Le fameux saumon fumé
A l’apéritif servi sur des blinis, en entrée sur du pain toasté, le saumon est le poisson qu’on achète volontiers pour Noël. Même si ce poisson est une excellence source de vitamines et de minéraux, il reste l’un des poissons les plus gras. Préférez le saumon sauvage à celui d’élevage, sa teneur en graisse est moins élevée.
Le dindon de la farce
La traditionnelle dinde de Noël, souvent servie avec des marrons, est une bombe de calories. Et ce n’est pas la dinde qui est source de calories, mais bien ce avec quoi on l’a fourrée. A titre d’exemple, la farce avec des châtaignes peut monter à 700 calories pour 100 grammes contre 300 pour des marrons. La sauce est aussi un des pièges qui guettent tous celles et ceux qui surveillent leur ligne. Si le jus de cuisson est bien utile pour attendrir la chair de la dinde, il est en revanche moins recommandé pour notre silhouette.
La bûche : un feu de calories
Et s’il reste un peu de place après le fromage, autre piège calorique pour lequel il vaut mieux passer son tour, le dessert est perçu comme un soulagement tant il est le point final à un long repas pantagruélique. Parmi les desserts phare, la bûche de Noël arrive en haut du podium. Qu’on se le dise, c’est un des desserts les plus caloriques car sa teneur en glucides est élevée.
Si les plats listés ci-dessus sont en effet des pièges, la modération reste le maître-mot. Que ce soit les fêtes de Noël ou tout autre banquet. L’alcool, dont l’abus est mauvais pour la santé, est également une bombe calorique. Alors lever son verre, oui… Mais lever le pied, aussi !